" La convergence lithosphérique
est caractérisée :
Les effets paraissent stables
à l’échelle humaine, mais ce sont des phénomènes
qui ont pris du temps.
La subduction est un phénomène
de 1er ordre de la dynamique de la terre, la collision un phénomène
de 2nd ordre, donc passer 2/3 du
temps sur la subduction. S’appuie
sur les connaissances de 1ère S.
Partie
1–5-1 : Convergence et
subduction |
La
convergence se traduit par la disparition de la lithosphère océanique
dans le manteau, ou subduction.
Marqueurs
de la subduction :
- image
de prisme et profil sismique dans la Terre 88 APBG qui est bien aussi
pour les profils ECORS pour les Alpes,
- des
infos sur la subduction des Antilles dans le Debelmas Les Grandes
structures géologiques chez Masson.
.
magmatisme avec plutonisme et volcanisme associés à
carte géologique des Andes et/ou Sismolog, Géocéan
{{}}Moteur
de la subduction : densité de la lithosphère océanique
qui augmente quand elle s’éloigne de la dorsale
Les
zones de subduction sont le siège d’une importante activité
magmatique caractéristique
- responsable du magmatisme :
déshydratation de la plaque subduite à caractéristiques
de cette plaque vues en 1ère S et schéma 3
en annexe
- nature du magmatisme en relation avec
la fusion partielle des péridotites hydratées : voir
les schémas 1 et 2 en annexe à observations de roches
et lames minces ( andésite, rhyolite, granodiorite), modélisation
de la cristallisation possible avec le logiciel Magma (CNDP)
- couplage entre magmatisme et métamorphisme :
formation pour la plaque subduite de minéraux de plus en plus
déshydratés ( chlorite puis glaucophane puis jadéite
et grenat)
observation de méta gabbro ou
méta basalte , lames minces, relations géométriques
des minéraux et datation relative .
Partie
1–5-2 : Convergence et
collision
continentale |
- " La collision résulte
de la convergence de deux lithosphères continentales.
- Elle fait suite en général
à une subduction et conduit à la formation d’une
chaîne de montagnes.
- Ces phénomènes
sont abordés à partir de quelques aspects de la géologie
des Alpes franco-italiennes.
- En aucun cas il ne s’agit
d’une étude exhaustive de la chaîne ou de sa formation. "
{{}}{{}}Identifier
les témoins :
- d’un
ancien domaine océanique à ophiolites, marges passives,
avec sédiments et blocs basculés
- d’une
subduction anté-collision avec métamorphisme HP/BT à
les différents minéraux métamorphiques observés
de l’est à l’ouest des Alpes
{{}}{{}}Mettre
en évidence les marqueurs de la collision continentale pour montrer
épaississement et raccourcissement de la lithosphère continentale :
- topographiques : très fort
relief à carte géologique des Alpes et racine crustale
à profils sismiques
- tectoniques : plis, failles inverses,
chevauchements, charriages à carte géologique,
datation relative possible ici.
Ne pas raconter toute l’histoire
de la formation des Alpes comme dans l’ancien programme de 1ère
S, mais montrer variabilité au cours du temps, même si la
chaîne paraît statique. Faire le bilan schématique
de la dynamique de la lithosphère avec évolution depuis
l’ouverture océanique jusqu’à la collision continentale :
question au bac possible (pas de type I) ; datation absolue possible
ici.
Par rapport aux anciens
programmes : insister davantage sur les corrélations entre
les principaux marqueurs pour comprendre les modifications lithosphériques,
atmosphériques, océaniques qui en résultent au cours
du temps, à réinvestir en 1 – 2 , 1 – 8 et le
thème 1 de spécialité.
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