Objectifs :
- de connaissances
: évaluer la vitesse de courants océaniques superficiels
afin de la comparer à la vitesse des mouvements atmosphériques.
- de méthode
: saisir des données, positionner avec soin et exactitude
des points (latitude, longitude) sur un planisphère. Calculer
une vitesse. Analyse des résultats.
VITESSE DE COURANTS
face="Arial">OCÉANIQUES SUPERFICIELS
Comment calculer la
vitesse d’un courant océanique ? Par quel moyen ? Consultez à
l’écran les caractéristiques des bouées
dérivantes.
Étude de la dérive de quelques bouées, dans l’océan
Atlantique nord au cours de l’année 1996.
Choisissez l’une
d’entre elles et cliquez sur son code numérique afin d’afficher
le relevé hebdomadaire de ses positions tout au long de l’année.
a - Pourquoi les longitudes
sont-elles exprimées par une valeur numérique négative
et les latitudes par une valeur numérique positive ?
- Préparez
avec soin le dispositif qui vous permettra de matérialiser
sa dérive : placez le transparent comportant le contour des côtes
sur la feuille quadrillée en longitude et latitude. Les graduations
doivent se recouvrir parfaitement. Reliez-les 2 documents par du ruban
adhésif, il est essentiel qu’ils restent parfaitement solidaires
pendant toute la durée de votre relevé.
- Au stylo feutre
indélébile, pointez avec soin, sur le transparent,
les positions successives de votre bouée tout au long de l’année
et matérialisez sa dérive en reliant les différents
points par un trait ou, quand vous le pouvez, par une flèche
donnant le sens du déplacement. (la première position
sera repérée par une croix, pensez à indiquer en
marge de votre transparent le code numérique de votre bouée)
b- Analysez votre
tracé après avoir observé quelques tracés
réalisés par vos camarades
Est-il simple ou
complexe ?
Le sens de
la dérive annuelle de la bouée est-il facile ou au contraire
difficile à déterminer ?
Calculez la vitesse maximale de cette dérive au cours de l’année
: pour cela, reportez à l’aide de votre compas la plus grande
et la plus petite dérive hebdomadaire sur l’axe des latitudes
(principe du compas de marine). Sachant que 1° de latitude correspond
à 111 km, vous pouvez estimer ces 2 vitesses en m.s-1 ou en .km.h-1
l’intervalle de temps entre les positions successives d’une même
bouée n’est pas toujours le même.
Superposons maintenant tous les transparents représentant les tracés
des bouées dont vous avez étudié la dérive
Que vous révèle
l’observation au rétroprojecteur de la superposition de tous vos
tracés ?
Précisez votre analyse en comparant votre document collectif au
planisphère de la circulation
océanique globale
BILAN :
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