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Sciences de la vie et de la Terre

Construction des savoirs scientifiques (immunologie) en troisième en SVT

01 / 09 / 2005 | Sacha Touille
 

 

Date : Mai 2002

AUTEURS :
Groupe
de Recherche de Melun

Niveau concerné :

Collège
Type
Didactique

<p align="CENTER">TROISIÈME

DÉFENSE
ET PROTECTION DE L’ORGANSIME

Travail
de type A
 :
Travail en classe en
petits groupes de 5 élèves maximum. A la fin de l’heure,
le professeur ramasse et évalue les travaux de chaque élève
dans le but de réaliser une correction pour la classe. La correction
est distribuée à la séance suivante et sert de référence.


Travail
de type B
 : Travail en classe par petits
groupes de 5 élèves maximum. A la fin du temps imparti,
chaque groupe présente son travail au reste de la classe. Une correction
est réalisée à partir des travaux des élèves
avant la fin de l’heure.

Notion abordée

Durée (H)

Type de travail

De nombreux micro organismes sont en permanence
au contact de l’organisme : certains franchissent la peau
ou les muqueuses et peuvent être responsables d’infections.
Ils se transmettent d’un individu à l’autre selon
le cas par l’air, l’eau, les objets, le sang ou lors de
rapports sexuels.

1

A

Après leur pénétration (contamination)
les micro organismes tendent à proliférer (infection)
au sein de cellules hôtes, notamment pour les virus, ou dans
le milieu intérieur pour la plupart des bactéries
productrices de toxines.

 


 

1 à 1,5

B

Les risques de contamination et
d’infection sont limités par la pratique de l’asepsie
et par l’utilisation de produits antiseptiques. Des antibiotiques
appropriés permettent d’éliminer des bactéries
pathogènes. L’utilisation du préservatif permet
de lutter contre la contamination par les agents des MST notamment
celui du SIDA.

1

 

B

(en
cours de réalisation)

L’ensemble des organes - moelle rouge des os,
ganglions lymphatiques, thymus et rate — et des différents
types de leucocytes — cellules phagocytaires, lymphocytes —
intervenant dans les réactions immunitaires constitue le
système immunitaire. Une réaction immédiate
d’élimination des agents infectieux — la phagocytose
— par des cellules phagocytaires suffit le plus souvent. Elle
peut se traduire par une inflammation.

 

0,5

 

 

B

Parfois nécessaires, d’autres réactions
plus lentes mettent en jeu la reconnaissance de l’élément
étranger :

- le micro organisme porte des molécules
ou produit des toxines que l’organisme reconnaît comme
différentes des siennes : ce sont des antigènes.

- des lymphocytes spécifiques d’un antigène
reconnu se multiplient rapidement dans les organes lymphoïdes.

Parmi les lymphocytes, les lymphocytes B sécrètent
dans le sang des anticorps (séropositivité) capables
de se fixer sur les antigènes et de les neutraliser.

 

2

A

La production de cellules immunitaires par la moelle
rouge des os peut être déficiente.

Le virus du SIDA parasite certains lymphocytes T
dans lesquels il se multiplie, entraînant leur destruction ;
quand ces lymphocytes deviennent trop peu nombreux les défenses
immunitaires sont inefficaces, des maladies opportunistes se développent.

 

1

B

La vaccination permet à l’organisme
d’acquérir préventivement et durablement une
mémoire immunitaire relative à un micro organisme

La sérothérapie fournit
des anticorps produits par un autre organisme, et procure ainsi
une immunité immédiate mais peu durable.

1

A

(en
cours de réalisation)

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